Nuit des TITANS 2017 Compte Rendu

31 Janvier: Pour les participants de la première nuit des TITANS, les photos sont sur
ma page FB "Merci Olivier pour toutes ces belles photos" et sur le site Lagny commerces
plusieurs vidéos et un super article sur le PARISIEN 77 du 30/01.

 

Lagny-sur-Marne. Julien remporte la Nuit des Titans au volant de sa Simca Rallye 2 de 1973

 

>Île-de-France & Oise>Seine-et-Marne>Lagny-sur-Marne|Alexandre Métivier|29 janvier 2017, 11h30 | MAJ : 29 janvier 2017, 19h50|0

Lagny-sur-Marne, samedi. Habitant de Pomponne, Julien Thomas a pris le départ du rallye des Titans samedi,sa cinquième course depuis trois ans. LP/Alexandre Métivier

Sa voiture, flanquée du numéro 10, attire les photographes amateurs dans la rue piétonne du centre-ville de Lagny-sur-Marne. « C’est une Simca Rallye 2 de 1973 », précise Julien Thomas, 33 ans. Chargé de la maintenance des avions de ligne chez Air France, cet habitant de Pomponne est un passionné de mécanique et possède aussi un karting. « J’ai acheté la voiture en 2012 et j’ai travaillé dessus pendant deux ans pour qu’elle soit prête à rouler. »

 

Lagny-sur-Marne, samedi. C’est au volant de cette sémillante Simca Rallye 2 de 1973 que Julien Thomas,
33 ans, a remporté le rallye de la Nuit des Titans. LP/Alexandre Métivier

Un peu après 14 heures, samedi, il a pris le départ du premier rallye des Titans comme dix-sept autres concurrents (voir notre diaporama). Ils se sont élancés vers Château-Thierry (Aisne), terme de la première étape. Les deux suivantes, restées secrètes jusqu’au dernier moment, ont fait voyager le convoi jusqu’au beau milieu de la nuit de samedi à dimanche dans l’Aisne. « Ce n’est pas un rallye de vitesse mais de régularité.
On perd même des points si on va trop vite. Il faut savoir faire de la navigation avec son copilote. On respecte le Code de la route et on profite de notre passion sans gêner les autres », poursuit Julien Thomas.

Basé à Thorigny-sur-Marne, l’organisateur Fenec Evasion s’occupe de trois rallyes de ce type organisés chaque année dans la région. « Normalement, on fait ça en mai. Il y a 45 ou 50 voitures mais là, avec l’hiver et les routes humides, les gens ont peut-être eu peur. » Deux désistements ont été constatés parmi les engagés. « Avec le froid, les routes sont grasses, confirme Julien Thomas. L’objectif n’est pas de gagner mais d’arriver avec une voiture en bon état. » N’empêche que Julien Thomas a fini en tête de cette édition de la Nuit des Titans.

Leparisien.frAlexandre Métivier 


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